champuru

1 février 2008

Solutions Linux 2008…

Enregistré dans : Bouquins, Geekeries, Accessibilité — champuru @ 1:24

C’est fini…

Trois jours de geekeries, de retrouvailles avec les habitués (voire la famille), de tshirts à messages, d’apéros plus ou moins formels (aaaah… l’apéro April et ses fromages).

Les rencontres IRL avec des gens qu’on ne connaissait jusqu’à présent que par IRC…

Ma traditionnelle razzia de livres : cette année, essentiellement orientée interfaces, accessibilité et navigation Internet.

Toujours cette étonnante dualité entre la partie associative (”le côté chevelu de la force”) et la partie corporate (”le côté obscur…”), les badges recto/verso, un côté boulot/un côté asso.

Le stand Traduc.org, avec son lot de fous rires, les “alors vous faites un logiciel de traduction automatique ?”, Balise, Février, Joël et Joëlle…
J’ai bavé devant le premier Asus EEE que j’ai pu voir “en vrai”, mais je résisterai jusqu’à la sortie des versions couleur. J’ai aussi, pour la première fois, croisé la route d’un OLPC.

Les polos de LinuxFR m’ont fait tomber en pâmoison, mais je me suis faite photographier avec mon tshirt PLF sur le stand du projet éponyme.

C’était crevant, mais toujours aussi bien…

26 janvier 2008

Amarok - bpmcalc

Enregistré dans : (Re)mise en forme, Geekeries — champuru @ 11:56

J’avais déjà évoqué, aux débuts de ce blog, ma méthode pour se remettre à courir. Ma playlist de course n’est pas un simple accessoire pour agrémenter ma course : c’est un véritable métronome pour moi. J’ai besoin du rythme des chansons pour caler mon rythme de course et de respiration. Au début, comme bien souvent, j’ai procédé par essai-erreur : “celle-là ça passe, je garde ; celle-là c’est pas le bon rythme, on jette”.

Et puis, en bonne informaticienne flemmasse que je peux être, j’ai cherché un outil informatique qui faisait ça tout seul… ou presque. J’ai fini par tomber sur bpmcalc, un petit script à intégrer à Amarok pour faire exactement ce que je recherche, à savoir calculer les BPM (battements par minute). Pas forcément parfait (chez moi il ne fonctionne qu’en mode manuel), pas tout à fait évident à mettre en place (il faut installer Qt), mais largement suffisant pour mes besoins.

Résultat, je peux maintenant affirmer que je cours entre 168 et 180 BPM. Fascinant, non ? :p

8 janvier 2008

Quand les geeks dépriment…

Enregistré dans : Cinéma, États d'âme, Ça se mange, Geekeries — champuru @ 23:46

En ce moment à la maison, notre serveur nous fait des misères. Mon Zom y passe bien du temps, s’arrache parfois les cheveux et clame par moments qu’il veut en finir avec l’informatique. L’énergie qu’il déploie à vouloir me récupérer mes données et à me préserver de la déprime me touche beaucoup. Mais il y a des moments où il faut aussi savoir se remonter le moral. Alors ce soir, c’est soirée “comfort” : un bon vieux DVD, un bon petit plat bien nourrissant et pas trop léger, une couette et le canapé.

Le film : Tron ! Un film de geeks s’il en est. Je ne l’avais jamais vu, mais j’ai adoré. Trop plein de petites références informatiques, même si je n’ai pas connu cette génération (je suis arrivée à l’informatique sur le tard).

Le plat : un bon curry japonais ! Pourtant, en cette période post-fêtesdefindannéenne, j’essaie d’alléger un peu mes assiettes. Mais ce soir ça s’imposait.

Eh bien quand même, tout ça, ça fait du bien au moral. Un peu.

4 janvier 2008

Migration d’un carnet d’adresses Windows vers Linux

Enregistré dans : Geekeries — champuru @ 20:29

Aujourd’hui en visite chez un client, j’ai eu à récupérer du courriel depuis un Windows complètement mort vers une Mandriva flambant neuve. La tâche me fut étonnamment facilitée par l’outil d’import de Kmail, qui gère sans problème les fichiers Outlook au format .mbox ; quand ils sont au format .pst, c’est une autre histoire évidemment, mais il y a des outils pour : readpst ou pst-utils par exemple.
L’autre facette de la migration a consisté à récupérer un carnet d’adresses au format .wab. Pour cela, j’ai trouvé un petit utilitaire fort pratique, libwab (http://lilith.tec-man.com/libwab/). En gros : téléchargez l’archive - compilez - c’est prêt en 30 s chrono. Plus qu’à retrouver le fichier .wab, le passer à la moulinette de libwab et enregistrer la sortie dans un fichier .ldif. On importe ensuite le fichier dans le carnet d’adresses de son choix puisqu’on a maintenant un format standard.

Résultat : la propriétaire des mails était toute contente de récupérer toutes ses données et de passer à autre chose que Windows. Tout le monde au bureau satisfait de ne plus subir les incessants pop-ups générés par les spywares. Et moi bien contente d’administrer maintenant une machine propre et sur laquelle, en plus, je peux travailler à distance.

Linux, c’est bon mangez-en.

30 septembre 2007

Facebook

Enregistré dans : Geekeries — champuru @ 23:51

Après moultes invitations, j’ai fini par céder et m’inscrire à “yet another social networking site”, j’ai nommé Facebook. Mon expérience des sites de réseaux sociaux restait globalement assez inégale. Lorsqu’Orkut est arrivé en France (aux tous débuts, quand seuls les geeks initiés pouvaient s’y inscrire et que la communauté française se résumait aux salariés de Mandriva, de Google et aux thésards de labos d’info), j’y avais été invitée et je m’étais pas mal amusée avec. J’y ai même rencontré mon futur mari, c’est dire l’intérêt de la chose ^^ . L’invasion de brésiliens a rendu Orkut beaucoup moins attractif (les discussions étant aujourd’hui quasi-exclusivement en portugais). J’avais échappé à MySpace mais, j’avoue, je me tâtais car un certain nombre de mes cousins (et pas les plus proches géographiquement : l’Australie, c’est loin !) y avaient leur page. Et maintenant voilà Facebook… J’ai résisté un moment et puis j’ai voulu voir.

Première constatation : ça va plus loin que le simple site de réseaux sociaux. Il y a des tas de petites applications (débiles, je vous le concède, mais c’est drôle au moins une demi-journée) qu’on peut installer sur sa page pour la transformer en arbre de Noël tendance drag-queen/nouvel an chinois. En un mot, on a vite fait de surcharger visuellement la page, et Facebook se charge de rajouter une louche de cassoulet par dessus ça (un peu de pub, des flux d’informations sur l’évolution de votre profil, de ceux de vos amis…). Une fois qu’on se fraye un chemin dans ce joyeux fouilli (qu’on peut organiser à loisir, merci le web 2.0 et les interfaces façon Netvibes), on trouve quand même des choses intéressantes. J’aime bien l’application de soutien à des causes plus ou moins grandes : on se dit qu’une bonne vieille manif ou l’investissement associatif, ça a quand même nettement plus d’impact et pourtant… ça attire plus discrètement l’attention des amis mais ça peut marcher. Il y a des applis totalement inutiles et donc parfaitement indispensables (l’animal virtuel, de préférence le plus “kawai” possible ; les batailles de vampires ; les comparaisons d’amis pour déterminer qui est plus quoi que qui d’autre…). Des cafés virtuels à s’envoyer, des panneaux d’affichage sur lesquels écrire, des communautés plus ou moins frivoles, des réseaux divers et variés. Limite on ne sait plus où donner de la tête : tant mieux (pour le site en tout cas), ça laisse des choses à explorer et ça encourage donc à revenir…

Le truc le plus sympa, c’est quand même que Facebook, à la base, permet de retrouver plein de gens dont on pouvait avoir perdu la trace. Beaucoup plus que sur Orkut en tout cas. J’ai retrouvé bon nombre de gens rencontrés lors de mon année passée dans un lycée en Caroline du Sud, et… la conversation reprend comme si les 11 ans qui venaient de s’écouler n’avaient pas eu lieu. Salut, qu’est-ce que tu deviens, ah c’est sympa tu as repris les études… Très Bruelien tout ça (oui, je sais, je viens d’inventer un adjectif et j’aurais pu mieux viser pour mes références, mais que voulez-vous, ça n’est pas Deleuze ou Bourdieu qui ont écrit “Place des Grands Hommes”). Des anciens Supélec, des copains du monde associatif, des collègues… Bon, c’est aussi bourré de jeunes (toutes les promos récentes de votre école/lycée/collège/université doivent y être dans leur intégralité, ça fiche un vague coup de vieux quand même).

Pour le moment c’est mon nouveau joujou. Vais retourner faire des papouilles à ma girafe tiens :-)

20 août 2007

Wii, cheesecake au citron et pavot, Trivial Pursuit Star Wars

Enregistré dans : Ça se mange, Geekeries — champuru @ 21:20

Quelques ingrédients pour un après-midi sympa entre copains : )

Le mode opératoire et les photos du cheesecake sont sur o< cuisine. Le résultat était un cheesecake dense comme je les aime, avec un bon goût de citron agréable et rafraîchissant. Bien agréable après m’être défoulée sur la Wii !

Parce que, oui, je me suis nettement ridiculisée : quand on joue à la Wii, normalement, pas besoin de gestes grands ou réalistes. Nonon, une petite pichenette, et voilà votre adversaire KO sur le jeu de boxe. Sauf que moi, j’y arrive pas. Je me suis fait un vrai round (enfin presque), ce qui a dû faire bien rire tout le monde. Pareil sur le tennis ou le bowling, occasionnant quelques frayeurs au propriétaire de la bête (j’ai failli atterrir dans la télé… forcément, quelle idée aussi de jouer au bowling dans un salon d’appartement :p ). Tout ceci explique mes courbatures d’aujourd’hui au dos et aux bras. Mais qu’importe : je me suis éclatée.

La conclusion ? Cher Papa Noël, j’ai été très gentille cette année et pour mon Noël, je voudrais une Wii ^^…

Quant au Trivial Pursuit Star Wars… l’Homme était à côté de moi et, en grand fan de Star Wars, Il voulait répondre à toutes les questions ! Reconnaissons que les réponses “Obiwan Kenobi” et “Luke Skywalker” ont une fréquence d’apparition très supérieure à la moyenne. Mais certaines des questions sont vraiment… pointues. J’étais fière d’être arrivée à 5 camemberts, mais Balise a plié le jeu en 3 coups de dé. Vraiment trop injuste. Je vais offrir le jeu à l’Homme, pour la peine :p

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